vendredi 25 juillet 2014

Festival de Cape et d'Epée à Vayres, 26 & 27 Juillet

Oyez oyez, enfin un peu d'action pour Les Trésors de Mélusine qui seront présents au 5° festival de Cape et d'Epée de Vayres, les 26 et 27 juillet prochain.

Toutes les infos sur le site des Fines Lames du Médoc

Du Samedi 26 au Dimanche 27
de 10h30 à 19h, spectacles nocturnes le samedi jusqu'à 23h

Entrée: gratuit pour les moins de 5 ans
de 5 à 15 ans: 9€
adultes: 11,5€

Durant l'exposition, le site les Trésors de Mélusine sera hors ligne, merci de votre compréhension.

lundi 19 mai 2014

Imagine...Phèdre

"Je le vis je rougis, je pâlis à sa vue
Un trouble s'éleva de mon âme éperdue
Mes yeux ne voyait plus
Je ne pouvais parler
Je sentis mon corps et transir et brûler"

Phèdre et Hippolyte, 1815, Baron Guérin, Musée du Louvres
Grande amoureuse tragique de la mythologie grecque, je choisi de vous présenter Phèdre sous les traits que lui donna Racine, plus complexe, plus faible et plus forte, en un mot plus humaine que le personnage originel d'Euripide, auteur grec du Vème siècle avant notre ère.
La pièce:
Écrite et présentée par Jean Racine en 1677, Phèdre est une tragédie en vers de cinq actes. Racine s'inspire de la pièce "Hippolyte porte couronne" d'Euripide (428 av JC) mais articule l'action autour du personnage de Phèdre dont il fait une femme responsable, passionnée, sensuelle.
Phèdre est la fille de Minos et de Pasiphaé, celle ci coupable d'avoir trompé Minos avec un taureau, engendrant ainsi le Minotaure, a subit les foudres d'Aphrodite qui se tournent désormais vers sa fille. Phèdre épouse Thésée, roi d’Athènes dont elle a deux fils. Elle tombe sous le charme d'Hippolyte au premier regard, et essaye dans un premier temps de l'éloigner d'elle et de s'en faire haïr.

 Poterie représentant Aphrodite, 470 av.JC
Hippolyte décide de fuir à la fois sa belle mère qu'il n'aime pas et Aricie, dont il est amoureux mais qui est la dernière survivante d'une famille rivale de Thésée. Cependant Thésée rappelle Hippolyte pour veiller sur Phèdre et ses enfants alors qu'il part en expédition guerrière. Plus tard Thésée est présumé mort, Phèdre se sent libre d'avouer son amour à Hippolyte qui la rejette au profit d'Aricie.  Folle de jalousie devant Thésée revenu elle l'accuse d'avoir tenté de la séduire. Thésée bannit Hippolyte et appelle de ses vœux la vengeance de Neptune.
Rongée de remords, elle se dénonce à Thésée avant de se donner la mort.

Dame de Mycène, 1300 av JC
Le personnage:
Femme pleine d'orgueil, amoureuse passionnée, sensuelle, mère, noble, cruelle et courageuse, les adjectifs se succèdent sans pouvoir cerner définitivement le personnage de Phèdre.
 
Phèdre amoureuse d'Hippolyte est doublement coupable aux yeux de la société, tant pour les grecs antiques que pour la société du XVII° siècle, car ses sentiments relèvent à la fois de l'adultère et de l'inceste bravant ainsi l'interdit fondateur de la civilisation. Racine explore la psychologie de cette femme tourmentée qui lutte d'abord contre la culpabilité d'une passion, malédiction d'Aphrodite, avant de s'y abandonner pour son plus grand malheur car elle ne supportera pas qu'à la blessure d'un amour interdit s'ajoute celle d'un amour-propre bafoué.

 "Les Dieux m'en sont témoins, ces Dieux qui dans mon flanc
Ont allumé le feu fatal à tout mon sang
Ces Dieux qui se sont fait une gloire cruelle
de séduire le cœur d'une faible mortelle"

Le personnage tout entier est tourné vers l'idée de mort, avant même l'acte irrémédiable, elle cesse de s'alimenter et devient de plus en plus faible. Seuls ses devoirs de mère arrivent à la soutenir encore ainsi que le soin de sa nourrice. Une fois que toute la tragédie est consommée la faute ne peut être lavée que dans la mort. 

"Et la mort, à mes yeux dérobant la clarté,
Rend au jour qu'ils souillaient toute sa pureté"

Phèdre princesse antique
Racine s'inspire pour sa pièce, de la tragédie d'Euripide datant de 428 avant JC, celle ci relatant des faits de la période archaïque des rois d'Athènes et de la conquête de l'Attique soit du VIII° siècle avant notre ère. Mais si l'on privilégie les éléments mythologiques dans l'interprétation historique, les faits se situent au XII° siècle av JC, au moment ou Thésée réunit les tribus athéniennes en une seule entité et affranchit Athènes de la tutelle crétoise. Pour imaginer Phèdre il faut donc se pencher sur l'histoire de la mode entre le XII° et le VIII° siècle avant notre ère, en Crète et en Grèce.

Phèdre princesse Crétoise
"Déesse aux serpents" faïence minoenne, -1600av JC
Le costume crétois fait figure d'exception dans l'histoire du costume antique. D'une part il est le premier a avoir fait une distinction nette entre les sexe, et par ailleurs il est le premier vêtement cousu de l'Histoire. Les vêtements sont de laine ou de lin, teintés de pourpre, de bleu de brun ou de jaune, avec jusqu'à 4 teintes pour une même pièce. Certaines sources attestent la présence de motifs de fleurs, de ramages ou encore d'oiseaux.

 Sarcophage Aghia Triada, -1400av JC
Phèdre aurait ainsi été parée d'une jupe en cloche constituée de plusieurs couches de volants allant jusqu'à terre. L'étoffe peut être confectionnée à partir d'un grand nombre de bandes horizontales brodées ou non, de galons rajoutés. Un tablier arrondi recouvre le haut de la jupe. La poitrine est laissée découverte par le corsage qui s'ouvre sur la taille, remonte dans le cou formant un col "Médicis", les manches sont courtes et peuvent être bouffantes, reliées au cou par un jeu de noeuds. Le costume de cour se complète d'une chemisette transparente comme sur la représentation ci-dessous.
"La parisienne" Cnossos, - 1500 av JC
La taille est soulignée par une ceinture ou par un corset, première pièce de l'histoire de la mode à appliquer la métallurgie au costume. Enfin, un manteau long ou une pèlerine venait compléter la tenue pour sortir. La chevelure est nattée, mais ce qui rend exceptionnelles les coiffures de la Crète antique c'est l'usage de chapeaux aux formes variées. Enfin le cou, les bras la coiffure et les oreilles  sont parés de bijoux en or avec des cristaux de roche, du lapis lazuli, des perles, des agates, des améthyste.

Parure de tête du Trésor de Priam, exposé à la BNF

Phèdre, reine d'Athènes

En épousant Thésée, Phèdre s'est très certainement défait de ses habitudes vestimentaires crétoises, pour correspondre à son rang d'épouse d'un Roi athénien, adoptant ainsi le costume grec. Les tissus sont les même qu'en Crète, l'importation de soie pour les plus aisés est largement répandue. Généralement nos contemporains se figurent l'individu antique enveloppé dans des draps blancs, image renforcée par le fait que les statues nous sont parvenues le plus souvent totalement blanches. Hors, il n'en est rien, l'étude de korês profondément enfouies (statues représentant des jeunes femmes) montre l'usage d'une polychromie étendue. Tout comme en Crète, la couleur, le tissage sont utilisées et constituent un indicateur du rang social de l'individu qui les revêt. Les galons aux motifs de vagues stylisées semblent être les plus appréciés.

Korê de Chios, 520 av JC
La grande différence entre les deux costumes que va revêtir Phèdre au cours de sa vie, réside dans le fait que l'un est cousu et l'autre est drapé. En effet l'élégance grecque tient dans le drapé d'une pièce d'étoffe rectangulaire, qui n'est à aucun moment taillée pour s'adapter au corps mais qui est disposée et retenue au moyen de fibules, bijoux totalement absent du vestiaires crétois. On ne distingue donc pas des coupes mais des façons d'ajuster:
- Pallium: l'étoffe enveloppe le corps sans être fixée
- Chlamyde: deux des coins sont liées au niveau du cou au moyen d'une agrafe

Korê, Acropolis, 530 av JC
- Peplos: une robe est formée au moyen de plusieurs agrafes ou fibules au niveau des épaules, puis ceinturée.


 Korê, 580 avJC
La tunique cousue aux épaules, ou khiton, n'est mentionnée qu'à partir de -558 av JC, il est donc peu probable que Phèdre s'en soit vêtue. Les couleurs les plus usuelles sont le violet, le vert et le gris. Quant à la coiffure de Phèdre en tant que reine athénienne elle a pu être variée, boucles laissées libres, tresses, chignon, on peut même envisager qu'elle ait gardé ses habitudes crétoises.

Fresque de Knossos


mardi 11 mars 2014

La prestance d'une Dame de la Renaissance

On la croirait sortie tout droit d'un film d'époque, voici la très belle réalisation de Madame de Caylus:
une robe renaissance vert et or. 

http://tissus-galon.com/index.php?id_category=21&controller=category

Réalisation: Madame de Caylus

Et une photo encore pour la route car je la trouve so Tudors, Henri VIII n'a qu'à bien se tenir!


Merci encore à Madame de Caylus pour m'avoir fait parvenir ces très belles photos!

mercredi 5 février 2014

Imagine...Cosette 3/3

Vous l'aurez longtemps attendu voici l'article final sur le costume de Cosette, lorsqu'elle devient Baronne de Pontmercy.

Robes 1830
 Tout juste fiancée elle reçoit de la part du grand père de Marius les attributs du rôle social qu'elle va désormais endosser: les matières en plus d'être à  la mode se font extrêmement précieuses et raffinée.

«Pékins, damas, moire peintes, robes de gros de Tours flambé, mouchoirs des indes brodés d'un or qui peut se laver, dauphines sans envers en pièces, point de Gênes et d'Alençon parures en vieille orfèvrerie...» et encore «une magnifique robe de moire antique couleur thé»

Pékin: étoffe de soie rayée alternant bandes brillantes et bandes mat

Damas: étoffe de soie brillante dont le tissage forme des motifs tons sur tons ou contrastés.

Damas de soie, XIX°, MET
Moire: tissu à motif d'ondulation produit par le tissage
 
Robe d'époque, 1830's, en moire blanche
 
Cosette se marie le 16 février 1833, en blanc: « Cosette avait sur une jupe de taffetas blanc sa robe de guipure de Binche, un voile de point d'Angleterre, un collier de perles fines, une couronne de fleurs d'oranger; tout cela était blanc, et, dans cette blancheur, elle rayonnait. C'était une candeur exquise se dilatant et se transfigurant dans la clarté.»



 Différents modèles de robes de mariées d'époque 1830's
Ainsi aux vêtements noirs qui marquent l'entrée dans la vie de Cosette quittant Montfermeil, s'oppose le blanc et la clarté de Cosette devenant la femme de Marius, car elle est avant tout la femme de Marius avant d'être madame la baronne de Pontmercy; elle le dit : «Je m'appelle Marius. Je suis madame Toi.» 
La référence au blanc pour une robe de mariée en 1833 peut paraître étrange; beaucoup s'accordent à dire que le blanc ne devient à la mode qu'après le mariage de la reine d'Angleterre victoria, en 1840; cependant nous voyons la future Duchesse de Berry, Marie Caroline de Bourbon, se marier en blanc dès 1816! Mais le symbole du blanc voulu par l'auteur l'emporte sur ces détails.

La vie de baronne amènera Cosette à changer plusieurs fois par jours de tenue et à chaque moment de la journée et convention sociale correspondra un certain type de robe. Par exemple les bras nus et les décolletés sont réservés aux robes du soir.

Robe de jour:


Musée de Philadelphie, 1830
Robe de promenade:


Tenue d'attelage:

 Robe de soirée:



Le nouveau cercle social de Cosette ne tolérera pas  son ancien protecteur Jean Valjean et en accédant aux fastes de sa vie de Baronne il lui faudra renoncer à son affection.
Ce n'est qu'à l'ultime moment que Jean Valjean retrouvera celle qui fut son "ange", et une des dernières choses qu'il remarquera avant de mourir est son col richement brodé, signe ultime que l'enfant chétive dont il a religieusement gardé le costume noir n'est plus.

mardi 26 novembre 2013

Imagine...Cosette 2/3

Cosette jeune fille

De la pensionnaire de couvent à l'ingénue

Bien souvent on ne retient du personnage de Cosette que l'enfant martyre et misérable, considérant la jeune femme qu'elle devient dans la dernière partie du roman comme trop mièvre, lui préférant Eponine, dont elle est le double inversé. Certes Cosette enfant est devenue une référence, un symbole, un personnage mythique. Mais si le personnage de Cosette est simplement romanesque dans la dernière partie, il n'en demeure pas moins essentiel et riche dont l'évolution de condition et de caractère se lit dans sa vêture.

Cosette est née à la fin du premier empire, en 1815, des amours éphémères d'un étudiant peu scrupuleux et de Fantine, jeune ouvrière. Dès sa naissance elle connaît l'abandon, de son père d'abord, puis de sa mère qui la confie aux Thénardier car son statut de mère célibataire est un frein à l'obtention d'un emploi. 



«En France, jusqu’à la fin des années 1870, date à laquelle les premières crèches sont ouvertes, les femmes qui travaillent n’ont pas de mode de garde et sont obligées de recourir à une «gardienne» ou à une «soigneuse». Lorsque la mère décède, abandonne son enfant ou se trouve dans une ville trop éloignée pour pouvoir le visiter régulièrement tout peut arriver: les bambins sont à peine nourris et mal vêtus; dès que possible, ils travaillent jusqu’à quinze heures par jour, sans repos hebdomadaire; ils sont frappés sous le motif le plus futile. Lorsque personne n’est venu les rechercher, à l’adolescence, la famille d’accueil a tous les droits sur eux...» (Myriam Tsikounas).
Dès 1818, Cosette se retrouve condamnée à subir la méchanceté des Thénardier ; exploitée et misérable, d'enfant chérie par sa mère elle devient la plus misérable des servantes: «Comme elle n'avait plus de trousseau, on l'habilla des vieilles jupes et des vieilles chemises des petites Thénardiers, c'est à dire de haillons"

 Cosette et le poupée offerte par Jean Valjean, Léon François Comerre

Elle est sauvée le jour de Noël 1823 par Jean Valjean informé de son existence par Fantine mourante. Cosette quitte alors l'auberge de Montfermeil pour un couvent parisien. Pour marquer la rupture l'auteur souligne le changement de vêtements: «une petite robe de laine, un tablier, une brassière de futaine, un jupon, un fichu, des bas de laine, des souliers, un vêtement complet pour une fille de sept ans. Tout cela était noir»; ainsi par la couleur du deuil est souligné le lien avec Fantine la mère décédée, inconnue de sa fille; et par la qualité des vêtements le changement radical de statut; «Cosette n'était plus en guenilles, elle était en deuil. Elle sortait de la misère et elle entrait dans la vie»


 Reproduction de la mode enfantine sur le site fashion-era

Marius la rencontre au jardin du Luxembourg, où ils se croisent et se remarquent; à ses yeux «c'était une façon de fille de treize ou quatorze ans, maigre, au point d'être presque laide, gauche, insignifiante, et qui promettait, peut-être d'avoir d'assez beaux yeux... Elle avait cette mise à la fois vieille et enfantine des pensionnaires de couvent, une robe mal coupée de gros mérinos noir»; Marius et Cosette se croisent sans se parler deux années.


Robe de 1830 présentée aux enchères.

Cosette devient une jeune fille: «mais il lui parut que ce n'était plus la même jeune fille. La personne qu'il voyait maintenant était une grande et belle créature ayant toutes les formes les plus charmantes de la femme ….C'étaient d'admirables cheveux châtains nuancés de veines dorées, un front qui semblait fait de marbre, des joues qui semblaient faites d'une feuille de rose, un incarnat pâle, une blancheur émue, une bouche exquise d'où le sourire sortait comme une clarté et la parole comme une musique, une tête que Raphaël eut donnée à Marie posée sur un cou que Jean Goujon eût donné à Vénus. «En six mois, la petite fille était devenue jeune fille....Hier on les a laissées enfants, aujourd'hui on les retrouve inquiétantes» 

 
Encore une fois les vêtements changent: «Et puis ce n'était plus la pensionnaire avec son chapeau de peluche, sa robe de mérinos, ses souliers d'écolier et ses mains rouges; le goût lui était venu avec la beauté; c'était une personne bien mise avec une sorte d'élégance simple et riche et sans manière. Elle avait une robe de damas noir, un camail de même étoffe et un chapeau de crêpe blanc. Ses gants blancs montraient la finesse de sa main qui jouait avec le manche d'une ombrelle en ivoire chinois, et son brodequin de soie dessinait la petitesse de son pied»

 P.G Jeanniot, cosette Jeune fille


« Elle sut tout de suite toute la science du chapeau, de la robe, du mantelet, du brodequin, de la manchette, de l'étoffe qui va, de la couleur qui sied, cette science qui fait de la femme parisienne quelque chose de si charmant, de si profond et de si dangereux.» «En moins d'un mois Cosette fut dans cette thébaïde de la rue de Babylone une des femmes, non seulement les plus jolies, ce qui est quelque chose, mais «les mieux mises» de Paris, ce qui est bien avantage»

Jean Valjean ne remplace pas toujours une mère: «une mère , par exemple, lui eût dit qu'une jeune fille ne s'habille point en damas» et puis ajoute l'auteur: «Pour former l'âme d'une jeune fille, toutes les religieuses du monde ne valent pas une mère. Cosette n'avait pas eu de mère. Elle n'avait eu que beaucoup de mères, au pluriel.»

Cosette s'habille donc de façon recherchée mais trop élaborée pour son âge, à la limité de ce qui est acceptable pour une jeune fille de sa condition, « Cosette s'habilla. Elle arrangea ses cheveux de la manière qui lui allait le mieux, et elle mit une robe dont le corsage, qui avait reçu un coup de ciseau de trop, et, qui par cette échancrure laissait voir la naissance de son cou, était comme disent les jeunes fille, «un peu indécent»néanmoins c'est cela qui va charmer Marius et se l'attacher: «Cosette se pencha pour ramasser quelque chose à terre, son corsage s'entr'ouvrit et laissa voir la naissance de sa gorge. Marius détourna les yeux.» «Il contemplait et il adorait les choses qu'elle mettait, son nœud de ruban, ses gants, ses manchettes, ses brodequins, comme des objets dont il était le maître..."



Par la suite, lorsque Cosette épouse Marius, elle change à nouveau de condition et donc de tenue.

Prochain et dernier article: Cosette, jeune femme à la mode, Baronne de Pontmercy

jeudi 14 novembre 2013

vacance de la boutique du 14 au 18 novembre

Bonjour à tous

Ca y est nous y sommes, le grand rassemblement des passionnés d'Histoire se tiendra ce week-end à Pontoise.

Les Trésors de Mélusine y seront présents, de ce fait pour assurer la disponibilité réelle des produits sur le site, celui ci sera fermé du 14 au 18 novembre, le temps de réaliser un petit inventaire post-salon.

N'oubliez pas si vous venez me trouver sur le marché de vous munir du bon de réduction de 10% ci dessous:

mardi 5 novembre 2013

Le marché de l'Histoire de Pontoise
16 & 17 novembre 2013

Les Trésors de Mélusine s'installent à nouveau dans le hall du parc des expo de Pontoise, pour le désormais traditionnel marché de l'Histoire. 
J'aurai à vous proposer de nombreuses nouveautés, des dentelles anciennes, des galons de cuir frappés et doré à l'or fin, des taffetas et des cotonnades variées. Voilà une agréable façon d'occuper son week-end, vous pourrez déguster des pâtisseries oubliées, goûter de l'hypocras, acheter une corne pour le boire comme les vikings, ou encore vous choisir une tenue de gentilhomme ou de gente dame.

Trouvères et jongleurs, comédiens et chanteurs useront de tout leur art pour vous divertir et vous emmener par delà l'espace et le temps. Je vous attend nombreux, et chaussés confortablement car le marché est grand, n'oubliez pas d'en bien faire le tour pour me retrouver.
Pour vous motiver voici un bon de réduction à imprimer et à me remettre lors de votre commande:

 
Et pour vous tenter encore plus aller donc faire un tour sur ce merveilleux reportage photo du blog Voyager comme Ulysse.

Informations
Horaires: 10-19h le samedi; 10h-18h le dimanche
Entrée: 8,5 euros; 4,5 pour les moins de 12 ans, handicapés et chômeur
Buvette, restauration, dépôt vente de costumes et accessoires.

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